top of page
%20Papa%20fun%C3%A9railles_edited.jpg
Accueil: Image

L'ATELIER DE L'ANCÊTRE

L'héritage artistique de Jean-Pierre Viens

Armoires "Signature", tableaux thématiques et tableaux sculptés, meubles de fabrication artisanale, maquettes, chandeliers et créations originales, pièces musicales, littéraires et autres...
Jean-Pierre Viens aura créé des oeuvres une bonne partie sa vie ; que ce soit avant son accident de 1988 ou après, alors qu'il n'avait plus qu'un seul bras.

Artiste éclaté, sans filtre et sans filet, son Art est à l'image de la personne qu'il fut jusqu'à sa mort en 2020 :
coloré, expressif et assumé. 

L'Atelier de l'Ancêtre vous propose une partie de ses oeuvres* encore disponibles.

*Dimensions des oeuvres et objets sur demande seulement.

Accueil: Texte
    Accueil: Product Gallery
    Accueil: Product Gallery
    Accueil: Product Gallery
    Accueil: Product Gallery
    Accueil: Product Gallery
    Accueil: Product Gallery
    Accueil: Product Gallery
    Accueil: Product Gallery
      Accueil: Product Gallery
        Accueil: Product Gallery
        12_edited.jpg

        « Les Arts m'ont sauvé la vie. »

        Jean-Pierre Viens, Journal l'Info du Nord | 2015

        Accueil: Citation
        13_edited.jpg

        LIVRAISON OU CUEILLETTE?

        Écrivez-nous pour connaitre vos options!

        L'Atelier de l'Ancêtre offre la possibilité de livraison ou de cueillette pour vos achats.

        Les oeuvres sont protégées au maximum pendant le transport afin de préserver leur beauté et d'arriver en parfait état à destination.

        Écrivez-nous dès maintenant pour plus de détails à ce sujet!

        Accueil: À propos de notre boutique
        12_edited.jpg

        "Une grande partie de ma vie, j'ai toujours dit que tout ce que j'ai fait, m'était commandé. 
        J'étais l'outil, j'étais l'instrument d'une force de l'Univers pour réaliser et rendre à terme de grands projets...

        Comme une commande venue d'ailleurs!"

        Jean-Pierre Viens, mars 2015

        Accueil: Citation
        12_edited.jpg



        "Tel le coureur de marathon, tout projet commencé demande beaucoup d'énergie et de courage pour traverser le fil d'arrivée."

        Jean-Pierre Viens, décembre 2011

        Accueil: Image
        Les mots de chacun, Hommage à Jean-Pierre Viens
        01:14:55
        Aline Viens

        Les mots de chacun, Hommage à Jean-Pierre Viens

        Hommage à Jean-Pierre Viens Jean-Pierre Viens, natif de Boucherville mais résidant à Saint-Faustin-Lac-Carré depuis plus de 40 ans, avait derrière lui un long parcours de vie bien chargé. En 1972, Jean-Pierre arrive dans la région des Laurentides. Assistant régulièrement à des courses automobiles au “Circuit Mont-Tremblant”, il rencontre sa femme, Lise, qui deviendrait la mère de ses deux filles. Il s’installe avec elle dans les Laurentides, pour de bon. C’est également à cette époque qu’il commence à écrire des chansons, inspiré par sa langue et par les plus grands poètes du Québec; une passion qu’il cultivera ardemment toute sa vie. Exploitant différentes facettes de sa personnalité et de ses talents, Jean-Pierre pratique ensuite l’horticulture ornementale pendant un temps à ville l’Estérel, et l’enseigne finalement pendant deux ans à la Polyvalente Curé-Mercure, de 1973 à 1975, école où il a lui-même suivi sa formation. Puis, en 1975, il se lance dans une nouvelle aventure: la construction de maisons “pièces sur pièces” du Québec, avec ses propres outils “inventés”. Il en bâtira 109 dans la province de Québec, dans 82 villes entre 1973 et 1988. L’amour du bois “dans l’âme”, attiré par l’ébénisterie, mais d’une façon plus “éclatée”, sans balise artistique, il construit sa première armoire de collection en 1977, pour meubler ses longs hivers. Celle-ci sera la première d’une longue série d’armoires et de meubles sculptés, dont lui seul connait le secret de leur immuable beauté… En 1980, il crée son premier tableau thématique, et c’est le début d’une grande aventure en imagerie. Ses grandes murales démontrent avec éloquence le très long chemin parcouru pour concrétiser sa vision. Les oeuvres expriment bien l’amalgame hybride du bois et de l’artiste coloré. Jean-Pierre suit ensuite des cours de sculpture en 1982, l’année où sa fille ainée voit le jour: Aline. Puis, la vie suit son cours jusqu’au 8 janvier 1988, quelques temps avant la naissance de sa fille cadette, Francine; par une froide soirée d’hiver, la vie de Jean-Pierre prend un nouveau tournant: un accident de motoneige lui prend son bras droit à tout jamais, le privant de sa liberté… du moins, pour un certain temps. Il doit tout réapprendre; manger, écrire, s’habiller… Sans compter que jouer de la guitare et bâtir des maisons lui sont désormais impossible. Une période creuse suivra.Pourtant, il reprend goût quelques années plus tard au travail manuel, et c’est armé d’un seul bras, le gauche, qu’il réussit à créer à nouveau des oeuvres artisanales débordant d’une “nouvelle originalité”. La “machine créatrice” qu’est Jean-Pierre Viens est repartie pour de bon, et surmonte avec puissance et avec “brio” les obstacles que la vie met sur son chemin. Il n’en manque pas; car celui-ci accumulera les opérations, au nombre de huit, jusqu’à 1998; frôlant même la mort de près en 1994. Dix ans après son accident, Jean-Pierre n’a toujours pas retouché à la musique. Mais… Par une belle journée de décembre 1999, il entre un piano dans sa maison. La libération tant attendue viendrait enfin. Dans les années 2000, Jean-Pierre participe à plusieurs expositions des métiers d’arts avec ses oeuvres. Cette même décennie est aussi pour Jean-Pierre sa plus imposante et prolifique période d’écriture et de compositions musicales. Les chirurgiens et les salles d’opérations l’ont enfin laissé tranquille. Sa plume n’arrête pas de parler. En 2003, il rentre un deuxième piano dans la maison. Jean-Pierre écrit et compose souvent la nuit, jusqu’à l’aube. De 2001 à 2007, il participe annuellement au “Concours National des Paroliers du Québec”, s’approchant même très près des grands honneurs en 2003-2004, contre 850 concurrents. Puis, en 2003, deux ans après que sa femme et lui se soient séparés, Jean-Pierre s’offre des cours de solfège à Ste-Agathe-des-Monts afin d’apprendre à lire et à écrire la musique. L’inspiration est à son comble, et les chefs d’oeuvres se multiplient. Touchée par sa vision, par ses mots et par son parcours de vie, c’est sept ans plus tard, en 2010, que sa fille Aline lui fait part d’un projet; prendre une douzaine de ses chansons et les mettre sur un album, où elle interprèterait les pièces de son père, composées au fil des ans. Avec émotions, celui-ci accepte cet hommage, et “Je rêve encore”, une réalisation de Pascal Chaumont, son gendre, voit le jour en juillet 2012. Comme tous les plus grands artistes de ce siècle et des siècles passés, Jean-Pierre était un grand solitaire et vivait comme il aimait le mentionner “tel un amérindien” des Premières Nations, s’inspirant principalement de la nature qu’il affectionne tant. Très actif dans les arts et dans la vie jusqu'à la fin, Jean-Pierre s’est enlevé la vie le 7 mai 2020, dans son atelier de travail. Il souffrait d’un cancer.
        Accueil: Video
        piano-papa_edited.jpg
        Accueil: Citation
        Accueil: Music
        16_edited.jpg
        Accueil: Bienvenue

        OEUVRES LITTÉRAIRES

        Les livres de Jean-Pierre sont disponibles pour consultation à la Bibliothèque de Saint-Faustin-Lac-Carré.

        Bibliothèque du Lac

        64 Rue de la Culture

        Saint-Faustin-Lac-Carré, QC

        J0T 1J1

        (819) 688-5434

        Livres_papa-4_edited.jpg

        BOURRASQUES D'HIVER

        2015

        Cette anthologie très complète regroupe tous les écrits de Jean-Pierre (ou presque, il manque ses écrits des dernières années).
        Chansons, poèmes, textes, articles, réflexions, pensées, maximes, photos... tout y est.
        Un ouvrage précieux pour la famille, les amis et les connaissances de cet artiste, mais aussi pour tous les amoureux des mots et de l'écriture.

        Livres_papa-3_edited.jpg

        MÉMOIRE CONDENSÉ 1925-2019 |
        DE DIEUDONNÉ À DIEUDONNÉ

        2019

        Ce petit livre a été écrit par Jean-Pierre en 2018-2019 et il y raconte tous ses souvenirs quant à la famille Viens.
        Le livre débute avec l'histoire de son arrière-grand-père André Viens et remonte dans le temps jusqu'à aujourd'hui.
        Souvenirs, anecdotes, réflexions, constatations... un ouvrage très simple mais très révélateur sur cet artiste, puisqu'il y parle beaucoup de ses parents et entre autre de son père Léo, avec qui la relation aura été difficile et complexe jusqu'à la fin.
        Une oeuvre très émouvante, qu'on pourrait voir comme une démarche de pardon faite par Jean-Pierre envers son père, avant de partir.

        IMG_2525.jpg

        POÈMES | CHANSONS

        1978

        Ce petit recueil regroupe l'ensemble des écrits de Jean-Pierre datant des années '70, années d'effervescence qui ont accueilli ses premiers pas en écriture et pendant lesquelles Jean-Pierre découvrit sa passion pour sa langue et pour son "pays" le Québec. 
        Imprimé et relié en plusieurs copies, ce petit livre nous fait découvrir la calligraphie de Jean-Pierre, puisqu'il est entièrement écrit à la main; sa main droite qu'il perdrait 10 ans plus tard. 

        Accueil: Nos services
        IMG_0612_edited.jpg

        MAISONS
        PIÈCE SUR PIÈCE

        Accueil: Bienvenue

        UN PASSION POUR LA MAISON ANCESTRALE

        En 1975, Jean-Pierre commença à construire des maisons de pièce sur pièce, une passion ardente qui le suivrait jusqu'à son accident de 1988.

        Mais qu'est-ce qu'une maison de pièce sur pièce?

        Cela consiste à ériger une structure de maison en disposant l'une par-dessus l'autre de larges pièces de bois équarries, à l'aide d'un système de tenons et mortaises. Les interstices entre les pièces sont ensuite calfatés à l'aide de divers matériaux faciles d'accès. Typiques des régions forestières, les maisons en pièce sur pièce perpétuent une tradition héritée des premiers colons. L'assemblage pièce sur pièce ne nécessite aucun clou, ce qui en faisait une méthode de construction très économique pour les premiers colons, qui disposaient de peu de moyens.
        L'aspect rustique de ces maisons évoque le mode de vie des pionniers du territoire.

        Jean-Pierre en bâtirait 109 au total, dans 82 villes différente du Québec, et ce, avec son propre outil inventé pour faire ses queues d'arondes (queues d'hirondelles).

        8_edited_edited_edited.jpg
        Accueil: Qui sommes-nous
        Papa_biographie.jpg

        BIOGRAPHIE


        Jean-Pierre Viens est né dans le vieux Boucherville, au beau milieu de l’ancienne seigneurie, le 17 novembre 1944.

        Fils de Léo Viens et d’Aimée Simard, il passe ses cinq premières années d’école au “Jardin d’enfance des Soeurs de la Providence”, à Beloeil. 

        Son parcours de vie le mène dans différents établissements classiques pour poursuivre ses études, au fil des ans : au Collège St-Joseph de Berthierville, au Collège St-Paul de Varennes et finalement, au Collège Sacré-Coeur de Victoriaville (cours de perfectionnement en dactylo et concours de compositions et d’art oratoire). 
        Maitrisant déjà bien l’art de s’exprimer au secondaire et surtout, aimant partager ses idées et ses idéaux, Jean-Pierre est pendant trois années consécutives le président de sa classe, de 1960 à 1962.

        Il termine ensuite ses études en 1964 en tant que diplômé “Dessinateur industriel et Outilleur”, à l’École Technique des Arts et Métiers de Montréal. Parallèlement à la poursuite de ses études,  Jean-Pierre est également serveur aux tables, durant la fin de semaine, au bar-salon de ses parents. 

        Fait inusité ; dès 1965, son premier emploi fût comme dessinateur pour “Marconi Electronics”, à Ville St-Laurent. Détail à noter; après seulement une journée de travail sous les néons d’une salle de dessin, Jean-Pierre avise son chef de département qu’il croit être au mauvais endroit. Il lui avoue qu’il préfère de loin la turbulence, l’action et les bruits d’un atelier. 
        “Dommage” lui aurait répondu son superviseur de l’époque, “vous aviez la personnalité d’un dessinateur”. 
        Dans les jours suivants sa démission, Jean-Pierre sera engagé par U.T.D. (Universal Tools and Dies), un sous-traitant de Canadair devenu aujourd’hui Bombardier.

        En 1966, il fait son entrée dans les ligues majeures chez “Pratt ‘n Whitney”, afin d’y fabriquer des moteurs d’avions turbo-propulsés, “PT6”. Habilité à travailler plusieurs sortes de métaux de fine dimension, on le surnomme “Le bijoutier” dans son département d’ingénierie, dès son arrivée à la multinationale.

        C’est surtout son quart de travail de nuit pendant six ans qui aura finalement raison de sa santé et de sa décision d’abandonner son emploi chez Pratt ‘n Whitney. 
        Son père, suite à cette décision professionnelle, le traitera de fou pendant des années et de jeunesse “disconnectée” de la réalité.

        En 1972, Jean-Pierre migre finalement vers le nord, après une très longue grève qui a duré presque trois ans. D’ailleurs, c’était la plus longue dans les anales du Québec. 

        Assistant régulièrement à des courses automobiles au “Circuit Mont-Tremblant” dans les Laurentides, il rencontre dans la région une jeune femme, Lise Archambault, native de Verdun, qui deviendra par la suite sa femme et la mère de ses deux filles, Aline et Francine.
        Il s’installe avec elle dans la région, pour de bon.

        C’est également à cette époque qu’il commence à écrire des chansons, inspiré par sa langue et par les plus grands poètes du Québec; une passion qu’il cultivera ardemment toute sa vie. 

        Exploitant différentes facettes de sa personnalité et de ses talents, Jean-Pierre pratique ensuite l’horticulture ornementale pendant un temps à Ville d’Estérel, et l’enseigne finalement pendant deux ans à la Polyvalente Curé-Mercure de St-Jovite, de 1973 à 1975, école où il a lui-même suivi sa formation.

        Puis, en 1975, il se lance dans une nouvelle aventure: la construction de maisons “pièce sur pièce” du Québec, avec ses propres outils “inventés”.
        Il en bâtira 109 dans la province de Québec, dans 82 villes entre 1973 et 1988.

        Comme son père, duquel il retient son côté méthodique, Jean-Pierre aime attaquer les projets “un à un”, et mener ce qu’il entreprend jusqu’au bout. 
        La construction lui permet de se réaliser, en ce sens.


        L’amour du bois “dans l’âme”, attiré par l’ébénisterie, mais d’une façon plus “éclatée”, sans “balise artistique”, il construit sa première armoire de collection en 1977, pour meubler ses longs hivers.


        Celle-ci sera la première d’une longue série d’armoires et de meubles sculptés, dont lui seul connait le secret de leur immuable beauté…

        Plusieurs thèmes y seront développés : l’Astrologie, la nature, les hommages, les églises, les continents, les saisons, les archives; même, le passage du millénaire. 
        L’indien découvre la forêt.


        En 1980, il crée son premier tableau thématique, qu’il intitule “Différents d’hommes”. 

        C’est le début d’une grande aventure en imagerie.


        Cette série de grands tableaux 3’ X 5’ en bois n’est pas l’oeuvre d’un peintre. 
        Sorte de mariage entre un concepteur d’images et un artisan. 
        Ses dernières grandes murales démontrent avec éloquence le très long chemin parcouru pour concrétiser sa vision. Presque plus de deux décénies plus tard, les oeuvres expriment bien l’amalgame hybride du bois et de l’artiste coloré.


        Son inspiration sans borne lui vient principalement de sa mère, une femme habitée par un plaisir de vivre mémorable et qui possédait elle-même une imagination fertile, que Jean-Pierre qualifiait avec émotion de “débridée”.  

        De plus en plus attiré par le bois et par les possibilités de le “façonner” à sa manière et à son gôut, il suit ensuite des cours de sculpture en 1982, l’année où sa fille ainée voit le jour : Aline.


        Puis, la vie suit son cours jusqu’au 8 janvier 1988, quelques temps avant la naissance de sa fille cadette, Francine. Par une froide soirée d’hiver, la vie de Jean-Pierre prend un nouveau tournant : un accident de motoneige lui prend son bras droit à tout jamais, le privant de sa liberté… du moins, pour un certain temps. 

        Il doit tout réapprendre; manger, écrire, s’habiller… Sans compter qu'il lui est désormais impossible de jouer de la guitare et bâtir des maisons.


        Une période creuse suivra.


        Pourtant, il reprend goût quelques années plus tard au travail manuel, et c’est armé d’un seul bras, le gauche, qu’il réussit à créer à nouveau des oeuvres artisanales débordant d’une “nouvelle originalité”, qui ne manqueront pas d’étonner les gens; autant par leurs thèmes provocateurs que par leur grande beauté absolument unique.

        La “machine créatrice” qu’est Jean-Pierre Viens est repartie pour de bon, et surmonte avec puissance et avec “brio” les obstacles que la vie met sur son chemin. 


        Il n’en manque pas; car celui-ci accumulera les opérations, au nombre de huit, jusqu’à 1998; frôlant même la mort de près en 1994. 


        Dix ans après son accident, Jean-Pierre n’a toujours pas retouché à la musique. Mais…

        Par une belle journée de décembre 1999, il entre un piano dans sa maison.

        La libération tant attendue viendrait enfin.


        Dans les années 2000, Jean-Pierre participe à plusieurs expositions des métiers d’arts avec ses oeuvres.


        Cette même décennie est aussi pour Jean-Pierre sa plus imposante et prolifique période d’écriture et de compositions musicales. Les chirurgiens et les salles d’opérations

        l’ont enfin laissé tranquille.

        Sa plume n’arrête pas de parler.


        En 2003, il rentre un deuxième piano dans la maison. 
        Jean-Pierre écrit et compose souvent la nuit, jusqu’à l’aube. 


        De 2001 à 2007, il participe annuellement au “Concours National des Paroliers du Québec”, s’approchant même très près des grands honneurs en 2003-2004, contre 850 concurrents.


        Puis, en 2003, deux ans après que sa femme et lui se soient séparés, Jean-Pierre s’offre des cours de solfège à Ste-Agathe-des-Monts afin d’apprendre à lire et à écrire la musique. 

        L’inspiration est à son comble, et les chefs d’oeuvres se multiplient.


        Touchée par sa vision, par ses mots et par son parcours de vie, c’est sept ans plus tard, en 2010, que sa fille Aline lui fait part d’un projet; prendre une douzaine de ses chansons et les mettre sur un album, où elle interprèterait les pièces de son père, composées au fil des ans.

        Avec émotions, celui-ci accepte cet hommage et “Je rêve encore”, une réalisation de Pascal Chaumont, voit le jour en juillet 2012.

        En 2015, Jean-Pierre sort un premier livre : Bourrasques d’hiver, une anthologie de toutes ses oeuvres écrites, qu’il offre en cadeau à ses deux filles. Poèmes, chansons, textes ; tous les écrits de Jean-Pierre sont enfin regroupés sous un “même toit” . 

        Il sortirait ensuite en mai 2019 son dernier livre, “Mémoire condensé 1925-2019, de Dieudonné à Dieudonné”, lequel regroupe tous les souvenirs familiaux de Jean-Pierre, en partant avec ses arrières grands-parents. 


        Comme tous les plus grands artistes de ce siècle et des siècles passés, Jean-Pierre était un grand solitaire et vivait comme il aimait le mentionner “tel un amérindien” des Premières Nations, s’inspirant principalement de la nature qu’il affectionnait tant.


        Très actif en matière de création jusqu’à ses derniers jours, il a vécu dans les Laurentides pendant près de cinquante ans, au coeur des arbres et au creux des montagnes.

        Jean-Pierre Viens s’est enlevé la vie dans son atelier le 7 mai 2020, avec une arme à feu.
        Il souffait d’un cancer. 

        Accueil: Qui sommes-nous
        103453570_2898205750229070_1283087468803

        L'ATELIER DE L'ANCÊTRE

        En mémoire de Jean-Pierre Viens

        514-619-7763

        Merci pour votre envoi !

        Accueil: Contact

        ©2021 par L'Atelier de l'Ancêtre.

        bottom of page